Le Pelvoux en montant au refuge du glacier Blanc près de l'ancien refuge Tuckett. |
LE PELVOUX Pas sommet proche de Montgenèvre, mais son glacier sommital et ses cascades de glace attirent le regard depuis Montgenèvre.
Le massif du Pelvoux : Pelvoux, Aiguille Sans Nom, Pic du coup de sabre, Ailefroide en montant au refuge Caron |
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Le Pelvoux vu des rampes (route de briançon) au-dessus de l'Argentière la Bessée |
C'est vers lui que le regard se pose quand on arrive dans la Vallouise. Dès les rampes au-dessus de l'Argentière la Beissée il s'offre à notre vue comme le gardien de cette vallée du parc des Ecrins. A la Bâtie des Vigneaux il vous accueille comme en signe de bienvenue avant de se cacher pendant un moment. Il réapparaît quand vous approchez du village de Pelvoux. C'est encore vers lui que se tourne les regards quand vous êtes au-dessus de puy St Vincent ou quand vous vous promenez vers la Pousterle ou le plateau d'Oréac. |
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Le Pelvoux et l'Aiguille sans Nom vus de la Batie des Vigneaux à l'entrée de la Vallouise |
Pourtant ce n'est pas le point culminant du massif bien qu'il ait donné longtemps son nom au massif. Il est dépassé d'une centaine de mètres par la Barre des Ecrins qui se cache derrière lui. Le pelvoux comporte plusieurs sommets dont la pointe Puiseux (le point culminant à 3946 m) et la pointe Durand (3932m), puis le petit Pelvoux (3754m) et les trois dents du Pelvoux (3682m). Sa première ascension fut accomplie par le capitaine Adrien Durand accompagné des deux chasseurs de chamois Alexis Liotard et J.Etienne Mathéoud. Le pelvoux fut d'ailleurs le premier des alpes du Sud à être conquis. Mais c'est Victor Puiseux qui gravit le point culminant qui porte son nom le 9 août 1848. Mais il est vraisemblable que Durand atteignit lui aussi cette pointe en 1828. |
Le Pelvoux vu du plateau d'Oréac |
Le Pelvoux vu de Tournoux (Puy St Vincent) |
Le Pelvoux au petit matin vu du Gd Pelvoux |
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